L’investissement immobilier attire de plus en plus de personnes, en l’occurrence les Français. Cet engouement est dû notamment au succès écrasant du secteur. Si vous envisagez d’investir en immobilier, vous pouvez vous demander où le faire. Après lecture de ce bulletin, vous saurez où investir en immobilier en 2022.
Nantes
Nantes avance à grands pas sur la scène de l’immobilier. Ce n’est pas un hasard si tant d’investisseurs scrutent ses quartiers, calculatrice en main. D’abord, la proximité avec Paris : 2h30 de TGV et vous y êtes. Pas d’interminable traversée du pays, on reste mobile, flexible. L’aéroport de Nantes, lui, multiplie les liaisons vers de grandes villes françaises et européennes. La ville ne se contente pas d’être bien connectée, elle anticipe : les chantiers qui relieront les métropoles bretonnes pourraient bien booster la valeur de l’immobilier local.
Mais ce sont surtout les chiffres qui parlent. Nantes grandit vite : depuis 2012, la démographie grimpe de plus de 6 % chaque année. Les projections sont claires : cap sur 100 000 habitants supplémentaires d’ici 2030. Les actions suivent : plus de 18 000 emplois créés depuis 2017. On ne parle pas ici de promesses en l’air, mais de transformations visibles sur le terrain.
Bordeaux
Bordeaux n’est plus seulement la ville du vin. Elle s’impose comme un terrain de jeu pour les investisseurs qui cherchent la croissance, la vraie. Sa population ne cesse d’augmenter, avec une hausse annuelle de 5,3 %. Ce dynamisme démographique promet un marché locatif sous tension, idéal pour ceux qui veulent miser sur la demande. La ville séduit aussi les étudiants étrangers, qui remplissent les résidences et font grimper la demande de logements. Les prévisions annoncent un cap du million d’habitants d’ici 2030, autant dire que l’appétit pour la pierre ne va pas faiblir.
À Bordeaux, les projets urbains fleurissent. Les grues dessinent la silhouette de la ville, et chaque chantier ajoute de la valeur. Le marché locatif profite de cette effervescence : la demande reste forte, les taux de vacance faibles. Pour les investisseurs, cela signifie un taux de rendement brut qui tourne autour de 4 %. Côté prix, le mètre carré s’affiche entre 4 000 et 6 000 euros selon les quartiers. À ce tarif, Bordeaux reste compétitive par rapport à d’autres grandes métropoles.
Lyon
Lyon ne joue pas les seconds rôles. Deuxième bassin d’emploi du pays, la ville attire travailleurs et locataires, et la dynamique ne montre aucun essoufflement. Cette année encore, Lyon s’installe à la troisième place des villes françaises les plus attractives, selon les classements. Le lien avec Paris est direct : à peine deux heures de TGV séparent les deux villes. L’aéroport international ajoute une couche supplémentaire à ce dynamisme, ouvrant Lyon à toute l’Europe.
Le marché immobilier lyonnais reste solide. La demande locative ne baisse pas, portée par une économie locale robuste et une attractivité qui ne se dément pas. Côté tarifs, il faut prévoir un budget à la hauteur : le prix du mètre carré dépasse les 5 300 euros dans de nombreux quartiers. Ce niveau de prix s’explique par la tension du marché, la qualité de vie et la capacité de la ville à séduire toujours plus de nouveaux arrivants.
Choisir où investir, c’est accepter de miser sur l’avenir d’une ville et la vitalité de ses quartiers. Nantes, Bordeaux, Lyon : trois noms, trois histoires, mais un même élan. L’immobilier ne se contente pas de chiffres, il raconte aussi l’ambition de territoires où tout reste à bâtir.

